Este compromiso se logrará mediante la producción de programas temáticos, informes, investigaciones, entre otros, sobre la violencia de género. Con la ayuda del código deontológico de los medios de comunicación y de lxs periodistas haitianxs, así como de la guía práctica periodística sobre la violencia de género, lxs participantes se proponen dar a conocer todo tipo de temas sobre la violencia de género para sensibilizar a la opinión pública sobre esta cuestión, que rara vez se trata en los medios de comunicación.
De una treintena de propuestas de reportajes, algunos más originales y relevantes que otros, se seleccionaron diez reportajes cuya producción se financiará gracias al apoyo del Fondo de Población de las Naciones Unidas (UNFPA).
"Es bueno que podamos animar a lXs periodistas a proponer temas sobre la cuestión de la violencia de género. Su compromiso demuestra la gran necesidad de diversificar el contenido de lo que se dice en los medios de comunicación", dijo Jacques Desrosiers, Secretario General de la Asociación de Periodistas de Haití (AJH).
Las mujeres no siempre son conscientes de que son explotadas a diario. A veces, con toda la inocencia, se dejan explotar, y sin embargo son sometidas sistemáticamente a uno o varios tipos de violencia de género. Para cambiar esta tendencia, la contribución de los periodistas es crucial. "Algunas prácticas siguen en marcha. El cambio de mentalidad requiere una buena dosis de concienciación que sólo será posible gracias al apoyo y la implicación de lxs periodistas y los medios de comunicación", afirmó Marie Josée Salomon, responsable de género del UNFPA.
Conscientes del papel que pueden desempeñar en la lucha contra la violencia de género, varixs participantes se proponen tratar mejor los temas relacionados con esta cuestión. Para Jean Elie Paul, periodista de Alter Radio, que lleva varios años presentando un programa sobre la mujer, estos dos días de talleres han reforzado su compromiso de llevar la voz de las mujeres lo más lejos posible.
La Asociación de Periodistas Haitianos (AJH) pudo llevar a cabo esta actividad en colaboración con el Ministerio de la Condición y los Derechos de la Mujer y el Fondo de Población de las Naciones Unidas.
Francés
Cet engagement passera par la réalisation d’émissions thématiques, de reportages, d’enquêtes, entre autres, sur les violences basées sur le genre. Outillés du code de déontologie des medias et des journalistes haïtiens, du guide pratique journalistique sur les VBG, les participants comptent porter dans l’opinion tous types de sujets sur les VBG en vue de sensibiliser la population sur cette thématique peu traitée dans le medias.
Sur une trentaine de propositions de sujets, les une plus originales et pertinentes que les autres, dix reportages ont été retenus et leur production sera financée grâce à un appui du Fond des Nations-Unies pour la population (FNUAP).
« C’est déjà une bonne chose que nous puissions encourager les journalistes à mettre en avant des sujets sur la problématique des VBG. Leur engagement témoigne d’un grand besoin de diversifier le contenu de ce qui se dit dans les medias » a martelé M. Jacques Desrosiers, Secrétaire général de l’Association des journalistes haïtiens.
Les femmes ne sont pas toujours conscientes qu’elles sont exploitées au quotidien. Parfois, en toute innocence, elles se laissent faire pourtant elles subissent systématiquement un ou plusieurs types de VBG. Pour changer la tendance, la contribution des journalistes est déterminante.
« Certaines pratiques ont la vie dure. Le changement de mentalité nécessite une bonne dose de conscientisation qui ne sera possible que grâce au support et l’implication des journalistes et des medias » a rappelé Marie Josée Salomon, responsable du volet genre au FNUAP.
Conscients du rôle qu’ils peuvent jouer dans la lutte contre les VBG, plusieurs participants projettent de mieux traiter les sujets en rapport avec cette thématique. Pour Jean Elie Paul, journaliste à Alter Radio, qui anime depuis plusieurs années une émission sur les femmes, ces deux jours d’atelier ont raffermi son engagement qui est celui de porter le plus loin possible la voix des femmes.
L’Association des journalistes haïtiens (AJH) a pu réaliser cette activité en partenariat avec le Ministère à la condition féminine et aux droits des femmes et le Fond des Nations-Unies pour la population.